24 ans. Né à Sao Paulo, Brésil, le 7 novembre 2000.
Vit et travaille à Paris, France.
«Il sera une fois un coeur gravé sur la carroserie d’une banalisée blanchie par la poussière de cendres. Ce sont celles de la révolution de la nuit passée. Ses reflets métalliques berçent une eau scintillante, elle vibre doucement sous le souffle des battements d’ailes de papillons bleutés. Le reflet d’un tournesol rose s’y déforme, non loin d’un dolmen en marbre qui cicatrise doucement...»
Je m’intéresse à la faille qui laisse passer la lumière, à l’idée d’un soleil fossile, à la trace d’un ciel diaphane.
Aux fragment calcaires, aux entailles qui éblouissent. Au sillage du temps qui résonne dans le halo du soleil brûlant.
Par la peinture, à l’origine restes de terres et de pierres,
par ces dernières, calcaires, fragiles, résistantes,
j’essaie de créer des fragments atmosphériques.
Education
2018 - 2025 Master à l’ENSCI-LES ATELIERS
2022 - 2023 Assistant pour Neil Beloufa
Vit et travaille à Paris, France.
«Il sera une fois un coeur gravé sur la carroserie d’une banalisée blanchie par la poussière de cendres. Ce sont celles de la révolution de la nuit passée. Ses reflets métalliques berçent une eau scintillante, elle vibre doucement sous le souffle des battements d’ailes de papillons bleutés. Le reflet d’un tournesol rose s’y déforme, non loin d’un dolmen en marbre qui cicatrise doucement...»
Je m’intéresse à la faille qui laisse passer la lumière, à l’idée d’un soleil fossile, à la trace d’un ciel diaphane.
Aux fragment calcaires, aux entailles qui éblouissent. Au sillage du temps qui résonne dans le halo du soleil brûlant.
Par la peinture, à l’origine restes de terres et de pierres,
par ces dernières, calcaires, fragiles, résistantes,
j’essaie de créer des fragments atmosphériques.
Education
2018 - 2025 Master à l’ENSCI-LES ATELIERS
2022 - 2023 Assistant pour Neil Beloufa
J’hybride les pouvoirs de l’empreinte, son absence, sa déchirure, son altération, son poids déserté à ceux de la couleur, sa vibration lumineuse, sa douceur, sa réverbération. Je traduis la poésie d’un reflet du ciel dans une flaque bleutée qui rend le sable diaphane tel un glaçis.
J’essaie, en m’y brûlant les ailes, d’avoir pour horizon de découper le ciel, comme un rilithe, ces vestiges d’arches, entrées de Sanctuaires, comme le faisait les Étrusques pour définir l’implantation d’un Temple en dessinant un cadre, espace virtuel pour
observer les augures.
C’est par la couleur minérale que me permet la peinture à la chaux ariénne, à fresque ou à sec, que je navigue entre différents climats de contemplation. Par ses poudres de pierres, j’essaie de pratiquer la peinture et la sculpture, non pas comme des simples champs de représentation, mais comme des champs de résonance, entre le reste
fragmenté et le paysage vaporeux.
